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Saint-Quentin retourne à la Leaders Cup : un vainqueur, deux qualifiés

Betclic ÉLITE - Comme l'an dernier, Saint-Quentin a remporté sa finale pour la Leaders Cup. Victorieux de Strasbourg (81-70), le SQBB ira à Caen. Grâce à la défaite de Nancy, la SIG reste encore en position de se qualifier et devra miser sur une victoire de Monaco à Nanterre pour terminer la phase aller dans le Top 8.
Saint-Quentin retourne à la Leaders Cup : un vainqueur, deux qualifiés

Jerome Robinson, symbole d’une attaque picarde ressuscitée dans le dernier quart-temps pour valider la Leaders Cup !

Crédit photo : Grégory Portelette

Quand, au printemps 2023, tout le basket français était enclin à promettre l’enfer à Saint-Quentin, revenu en Betclic ÉLITE 30 ans après sa rétrogradation en Nationale 4, qui aurait cru à cette affirmation : « membre régulier du Top 8, le SQBB participera aux Leaders Cup 2024 et 2025 » ?! Pas nous, pour sûr, et certainement pas eux non plus… Et pourtant, les Picards ont de nouveau validé leur participation pour la compétition de mi-saison en disposant de la SIG Strasbourg (81-70).

1/18 pour commencer côté SQBB

Une victoire qui aura été longue à se dessiner, tant les hommes de Julien Mahé ont proposé 25 premières minutes de piètre qualité, incapables de trouver la cible de loin. S’il y avait eu un éléphant dans le rond central de Pierre-Ratte, les Axonais l’auraient raté. À un moment du troisième quart-temps, ils pointaient à un affreux 1/18 à 3-points. Des errances qui faisaient le bonheur d’une équipe alsacienne très cohérente, dans le sillage du meilleur match en carrière française du pigiste Malcolm Cazalon (22 points à 6/9, 8 rebonds et 3 passes décisives).

Au beau milieu du troisième acte, la SIG menait 44-34. Et puis, la lumière s’est éteinte. Ou l’attaque picarde s’est rallumée, au choix. Quand on ne marque que 34 points en 25 minutes puis 47 dans les 15 suivantes, c’est forcément un peu des deux… Transpercés par les assauts du SQBB, les joueurs de Laurent Vila ont complètement bafouillé leur basket, à l’image d’un inquiétant Edon Maxhuni (6 points à 2/11 et -2 d’évaluation) à la mène. Une histoire qui se répète d’ailleurs pour le Finlandais, déjà battu l’an dernier dans l’Aisne avec Le Portel lors d’une mini-finale pour la Leaders Cup. En face, Giovan Oniangue a initié l’avalanche (1/18 pour commencer, 6/10 pour finir) et allumé le volcan Pierre-Ratte, avant que Jerome Robinson (22 points à 7/15) ne prenne le relais.

La SIG qualifiée sur le fil

Au-delà de sa seule qualification pour la Leaders Cup, déjà très méritante en soi, Saint-Quentin a surtout signé l’une des excellentes opérations comptables de la soirée en créant une vraie séparation entre le Top 7 et le reste de la meute, menée par la SIG, toujours 8e à l’issue de la phase aller. Un mini-miracle pour l’équipe bas-rhinoise, qui a également composté son billet pour Caen malgré un bilan négatif (7v-8d), profitant des défaites conjuguées de Gravelines-Dunkerque, Nancy et Nanterre. Mais cette qualification sur le fil ne devra pas faire oublier le terne visage proposé par Strasbourg dans le final, indigne des ambitions actuelles du club.

Commentaires


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rob_gordon
Je pense que le mieux serait que la SIG reste à la maison : le niveau de jeu est décevant, surtout dans les fins de matchs. L’équipe manque de caractère, quel dommage car l’effectif devrait faire mieux. En tous cas, certaines équipes le font avec un budget et des moyens inférieurs, et cela fait déjà plusieurs années que c’est comme cela….
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matt_le_bucheron
L'année dernière, c'était déjà pareil. Avec le système actuel mis en place à la Sig, recrutement de joueurs en dessous de leur valeur, en espérant qu'ils jouent au dessus de leur valeur, et virés s'ils demandent plus, on aura du mal à avoir de la continuité. La Sig est devenue une grosse boîte d'intérim. Et on ne peut pas s'étonner que chaque joueur joue pour ses stats.
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rob_gordon
Oui, j’ai du mal à comprendre ce qui ne fonctionne pas. La base d’actionnaires est solide même si le budget a baissé, le club pourrait construire dans la continuité : unpopular opinion, trop de joueurs de même niveau, pas assez de rôle leaders assumés entourés de jeunes. Un leader score, Dominic Artis, un gros ton en dessous. La direction sportive doit se remettre en question. J’ai croisé Vincent Collet au supermarché du coin il y a pas longtemps, il avait l’air d’avoir le temps…. :-)
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