Menée à la pause, la JL Bourg éteint Roanne en seconde période
Auteur d’une grande première période, Sekou Doumbouya est petit à petit rentré dans le rang comme toute son équipe.
Pendant les vingt premières minutes de sa rencontre face à Roanne, la JL Bourg n’a pas eu la tâche facile. Mais lors des vingt dernières minutes, tout cela s’est inversé, pour accoucher d’un succès plutôt large des Burgiens sur le parquet de la halle André-Vacheresse (87-111).
Une grosse première période de Roanne, un match d’ensemble pour la JL Bourg
C’est dans le 3e quart-temps que Bourg-en-Bresse a complètement inversé la tendance de sa partie face à Roanne. Après avoir fait le dos rond face à l’énorme première période de Sekou Doumbouya (19 points à la pause, 26 au total), les Bressans ont remporté le 3e quart-temps sur le score de 18 à 32, passant notamment une série de 14 à 0 des le retour des vestiaires.
Sonnés, les joueurs de Marc Berjoan, passé par la JL Bourg au début de sa carrière de technicien, n’ont jamais pu inverser la tendance par la suite. Notamment en raison de l’adresse de la JL Bourg, frôlant la perfection ce mercredi (74% à 2-points, 53% à 3-points et 17/19 aux lancers francs). Sous les yeux de R.C. Buford, directeur général des San Antonio Spurs, Zaccharie Risacher a livré une petite prestation en sortie de banc, avec 6 points en 17 minutes de jeu.
16/30 à 3 PTS 🤯🔫
La @JLBourgBasket a décidé de planter une forêt entière 🌳#BetclicELITE #Threes4Trees pic.twitter.com/W8h1n1pP7O
— LNB (@LNBofficiel) March 20, 2024
Roanne n’est donc pas parvenu à créer l’exploit face à la JL Bourg. Mais il y a des motifs d’espoirs pour le club ligérien, auteur d’une belle première période collective (quasiment 20 passes décisives à la pause), au-delà de Sekou Doumbouya. Après avoir disputé ces matchs en retard, la Chorale se retrouve donc à une victoire de Gravelines-Dunkerque, première équipe non-relégable. Quant à la JL Bourg, cette victoire lui permet d’avoir le même bilan que l’ASVEL et Paris, également vainqueur ce mercredi face à Nancy.
Commentaires