La DNCCG limite la masse salariale de l’ASVEL et encadre celle de sept clubs, dont Monaco et Paris
L’ASVEL et Le Portel sont les deux les plus surveillés par la DNCCG
Alors que le budget de l’ASVEL sera sensiblement à la baisse par rapport aux 23 millions de 2023/24, suite aux difficultés financières de SKWEEK, l’un de ses principaux partenaires, le club villeurbannais fera partie des clubs les plus strictement encadrés par la DNCCG à la rentrée.
Le 25 juin, au moment de statuer sur l’engagement des clubs en LNB, le gendarme financier du basket français a prononcé un encadrement de la masse salariale de l’ASVEL et l’a limité, de manière préventive, à 80%. Les 20% restants pourront être débloqués au moment de la réception des comptes clôturés de la saison passée, au plus tard le 15 septembre. Il s’agit d’une mesure automatique pour les clubs présentant une situation nette négative au 30 juin. Le Portel est également concerné.
Soulagement pour Limoges
Par ailleurs, cinq autres équipes ont vu leur masse salariale être encadrée au montant budgété. Ce qui signifie que le club ne pourra pas dépasser la masse salariale annoncée dans son budget, sauf demande spécifique exprimée auprès de la DNCCG. Il y a Limoges, pour qui c’est un moindre mal après les turbulences du printemps, mais aussi les deux finalistes, l’AS Monaco et le Paris Basketball. Le BCM Gravelines-Dunkerque et le SLUC Nancy devront également strictement s’en tenir à leurs feuilles de compte. Cet encadrement est automatique lorsque la situation nette du club constatée sur les derniers comptes clôturés est inférieur à 50% du capital social du club.
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