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Jordan Floyd (Bourg) : « Notre équipe est vraiment spéciale et unique »

Après avoir éliminé l'AS Monaco, la JL Bourg a continue sur lancée de la veille pour s’offrir aisément la JDA Dijon (94-77). Jordan Floyd et Frédéric Fauthoux se sont exprimés sur cette qualification en finale de la Leaders Cup.
Jordan Floyd (Bourg) : « Notre équipe est vraiment spéciale et unique »
Crédit photo : Léo Morillon - LNB

Frédéric Fauthoux (JL Bourg) : « Depuis un moment, on arrive à développer un vrai jeu collectif. Avec la force collective qu’on a aujourd’hui, si on arrive à se partager le ballon comme on le fait, ça donne ce genre de match. Quand on allait moins bien en janvier, on a mis des choses en place, ça paye aujourd’hui. Pourvu que ça dure ! Collectivement, il y a eu des efforts de fait. On a bien fermé la raquette à des moments donnés. Leur déficit à 3-points en première mi-temps nous a pas mal aidé. Et surtout, on a pour une fois réussi à contrôler le rebond ensuite. On s’est donné une mission qu’il faut que l’on continue. Je pense qu’on n’a pas volé notre place de finaliste. On joue bien, on développe un beau jeu collectif, il y a de la solidarité. On est heureux. Jouer une finale, ce n’est pas neutre, ce n’est pas rien. Il va falloir savoir appréhender cela. Il va y avoir pas mal de petits entretiens informels d’ici demain. Offrir son premier trophée majeur à la JL Bourg est un challenge très important. L’objectif de tout le monde est de gagner un titre. Ce serait un très beau symbole que de le faire avec cette équipe-là, car je trouve qu’elle a quelque chose. On développe des choses intéressantes. Croiser l’ASVEL, ce serait un beau symbole et un joli clin d’œil du destin. »

Jordan Floyd : « Quand on a joué à Dijon, Markis McDuffie et David Holston ont été bons. On s’en est souvenus. On leur devait une revanche. Notre effort défensif a été spectaculaire. Nos quatre défaites de janvier ont été une prise de conscience qu’il fallait revenir à ce qu’on faisait avant. Et maintenant, on se partage de nouveau la balle. C’est notre façon de jouer. Quand tout le monde touche le ballon, on peut approcher les 90 – 100 points. Et un soir, Pierre Pelos va mettre 20 points, un autre ce sera Alexandre Chassang. Tout le monde peut prendre feu, sans exception. Notre équipe est vraiment spéciale et unique. »

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