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[Vidéo] Tomáš Satoranský pète les plombs face à Monaco : une faute grossière sur Strazel et une expulsion

EuroLeague - Frustré par l'écart au score entre le FC Barcelone et l'AS Monaco, Tomáš Satoranský a perdu ses nerfs en s'en prenant physiquement à Matthew Strazel. L'international tchèque a été expulsé du match 1 de ces playoffs d'EuroLeague.
[Vidéo] Tomáš Satoranský pète les plombs face à Monaco : une faute grossière sur Strazel et une expulsion

Tomas Satoransky est volontaire rentré dans Matthew Strazel l’épaule la première

Crédit photo : EuroLeague

Tomas Satoransky (2,01 m, 33 ans), meneur du FC Barcelone, a fait parler de lui pour de mauvaises raisons lors du match 1 des playoffs d’EuroLeague face à l’AS Monaco. Visiblement excédé par le cours de la rencontre, il a commis une faute grossière sur Matthew Strazel, avant d’insulter un arbitre. Résultat : une antisportive, une technique et une expulsion directe.

Une séquence qui fait réagir Vincent Poirier sur les réseaux sociaux

Alors que l’AS Monaco avait pris une avance significative sur le FC Barcelone, Tomáš Satoranský a complètement perdu ses nerfs. L’ancien joueur NBA a volontairement percuté Matthew Strazel à l’épaule, dans un geste qui a immédiatement été sanctionné d’une faute offensive. Quelques secondes plus tard, le meneur tchèque a lancé un « Fuck you » à l’un des arbitres de la rencontre, ce qui lui a valu une faute technique et une expulsion.

Dans la confusion, Mike James a lui aussi écopé d’une faute antisportive pour avoir poussé Satoranský dans le dos après l’action. Une tension symbolique de cette rencontre de playoffs.

Interrogé après le match, le coach monégasque Vassilis Spanoulis — très remonté au moment des faits — a préféré botter en touche : « Ce n’est pas mon boulot », a-t-il déclaré, sans commenter une éventuelle suspension du joueur adverse.

L’action a été commentée sur les réseaux sociaux, notamment par des joueurs français. Le pivot d’Anadolu Efes Istanbul, Vincent Poirier, n’a pas mâché ses mots : « Dirty player doing dirty things. » (« les joueurs sales font des choses sales »). L’atmosphère des playoffs est bel et bien installée.

Commentaires


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chorale42
Ce n’est pas la faute et le geste du siècle en terme de violence. Faute offensive, OK. Mais pas plus. Dommage que Matthew et James perdent leurs nerfs …
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claude_e
c'est bizarre que personne n'évoque le contact plus que rugueux 15 secondes avant de strazel sur satoransky; essayons d'être objectif et humain;
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(0) J'aime