Un premier trophée avec le Fenerbahçe pour Valérie Garnier : « Depuis que je suis arrivée, le club était focus sur la SuperCoupe »
Valérie Garnier : « Ça fait du bien (elle sourit). C’était très important pour le club, qui a remporté beaucoup de trophées mais jamais la SuperCoupe. Quand on a la chance de le faire, c’est parce qu’on a gagné l’EuroLeague avant… Or, à ce jour, ils n’ont été champions d’Europe qu’une seule fois. Depuis que je suis arrivée, le club était focus sur la SuperCoupe. Les joueuses sont heureuses, surtout que certaines viennent de débarquer, comme Napheesa (Collier, la MVP), arrivée lundi. J’ai surtout aimé l’état d’esprit : pendant 40 minutes, elles n’ont rien lâché. C’est cette culture que je veux insuffler, je pense que cette abnégation et cette intensité défensive peuvent nous servir pour plus tard. Ce match permet de travailler, oui, mais j’ai vraiment aimé le fait que nous avons été très sérieuses pendant 40 minutes. Vu l’écart (52-89), cela aurait pu être différent. On aurait pu tomber dans la facilité et cela n’a pas été le cas. Pouvoir mettre cette intensité pendant 40 minutes et faire tourner l’équipe, c‘est de bon augure pour les matchs à venir. Tout en étant conscientes que ce n’est pas l’ASVEL qu’on rencontrera le 10 octobre à Istanbul… »
La classe biberon de l’ASVEL broyée par le Fenerbahçe lors de la SuperCoupe d’Europe
Propos recueillis à Villeurbanne,
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