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L’équipe de France s’offre la plus large victoire de son histoire (+101) et le billet pour l’EuroBasket 2025 !

Face à la très faible Irlande, l'équipe de France s'est offert la plus large victoire de son histoire (125-24) ! Plus de 100 points d'écart qui permettent aux Bleues de définitivement valider leur billet pour l'EuroBasket 2025. Objectif Le Pirée maintenant !
L’équipe de France s’offre la plus large victoire de son histoire (+101) et le billet pour l’EuroBasket 2025 !

Valériane Ayayi, Romane Bernies et les Bleues ont marché sur l’Irlande !

Crédit photo : FIBA

« On connait l’Irlande, ça mailloche, c’est le rugby », disait Jean-Aimé Toupane à son équipe mercredi soir. Mais justement, l’Irlande, c’est le rugby, pas vraiment le basket… Ou pas du tout même. Et de mailloche, on n’en a pas trop vu. Plutôt une différence abyssale, presque gênante pour un match international, entre deux équipes évoluant dans deux galaxies complètement opposées : les vice-championnes olympiques d’un côté, des quasi-amateures de l’autre.

« L’idée était aussi d’envoyer un message »

La barre paraissait infranchissable, presque mythique, mais elle a bel et bien été dépassée, malgré un tir à 3-points de Sorcha Tiernan au buzzer, le seul de la soirée côté Irlande : plus de 100 points d’écart, 101 exactement (125-24), soit la plus large victoire de tous les temps pour l’équipe de France (devant le +96 enregistré contre la Tunisie lors du Mondial 2002). « Bon courage à celles qui voudront le battre, j’avoue que je ne pensais pas que c’était possible d’avoir un tel écart au niveau international », souffle Valériane Ayayi. Nous non plus.

L’équipe de France de Dominique Malonga a validé son billet pour l’EuroBasket 2025 ! (photo : FIBA)

L’essentiel était ailleurs cependant. Devant un Colisée bien clairsemé (seulement 3 218 spectateurs), les Bleues ont officiellement composté leur billet pour le championnat d’Europe 2025. « Le travail est fait, la qualification est assurée », ajoute la capitaine. Personne n’avait jamais trop douté de l’issue finale, mais les joueuses de Jean-Aimé Toupane ont su faire fi de l’opposition douteuse proposée par l’Irlande pour assurer une intensité constante pendant 40 minutes, sans jamais relâcher la pression. Sur le parquet, les joueuses n’étaient pas au courant du record à abattre, elles ont simplement appuyé sur la pédale d’accélération en continu, conformément à la méthodologie Toupane. « C’est aussi ça respecter l’adversaire », plaide Janelle Salaün. « On voulait confirmer notre identité et montrer à toutes les autres équipes que nous sommes toujours agressives », clame Marième Badiane. « L’idée était aussi d’envoyer un message. »

196 à… -32 à l’évaluation !

Celui-ci sera peut-être un peu brouillé par la très faible opposition (seulement 6 paniers marqués, 33 balles perdues), indigne du niveau international, mais l’ampleur du score final, voire de l’évaluation (196 à… -32), pourra en interpeller certains. L’idée était surtout de continuer à progresser, d’engranger du vécu collectif, à quelques mois d’un EuroBasket qui approche à grands pas, et dont la préparation sera considérablement raccourcie par l’exode des tricolores en WNBA. « On joue pour nous, pour continuer de bosser », confirme Badiane. Dans ce contexte, certaines ont pu séduire, comme Pauline Astier (14 points à 100% et 8 passes décisives), mais difficile de tirer des enseignements individuels face à un tel match. Plus de 100 points d’écart, on n’avait jamais vu ça. Mais une qualification validée à Chalon-sur-Saône, si. C’était en 2016, face aux Pays-Bas (79-46), afin de valider le ticket pour l’EuroBasket 2017, conclu avec une médaille d’argent au bout. Et ça, c’est peut-être la seule chose qu’il faudra changer à la fin de l’histoire dans quatre mois…

À Chalon-sur-Saône,

Commentaires


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elsinger
3 218 spectateurs, c'est déjà bien payé pour voir cette merde, le public aime bien le supplice on dirait. Match qui n'a aucun intérêt pour les 2 équipes. Mais les joueuses de l' Irlande ressemblent à des Irlandaises, valeureuses et courageuses.
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flavor_flav
ça fait deux articles où tu critiques ce match (le basket féminin, c'est nul, match qui ne sert à rien,...), mais apparemment tu l'as regardé.. Ou est ta logique?
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viking92
Tu vas le perdre avec ce type de questions ;-)
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lou_grand
Strictement aucun intérêt pour personne. Quant aux tarifs proposés, au secours ! Typiquement le match où tu remplis les tribunes avec les scolaires et les gamins des clubs GRATUITEMENT !
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jeanluc
sauf que la FFBB fait payer (cher) la présence de l'EDF dans une salle (et les mecs sont bien plus chers que les filles, même quand il s'agit d'une fenêtre internationale avec équipe bis voir ter). Donc si les organisateurs veulent a minima rentrer dans leurs frais, pas trop de choix sur les tarifs.
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clem49hotmilk
Il faudrait faire comme le rugby justement. Un championnat entre les équipes les plus faibles d'Europe (poule basse) et entre les équipes les plus fortes (poule haute) avec un système de montées descentes.
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stephmoon
Si je ne m'abuse, ça existe déjà et depuis longtemps. Du moins ça existait (division A et division B, voire même C). Si les Irlandaises sont là, c'est qu'elles ont mis des équipes derrière elles (Malte ? Chypre ? Luxembourg ? Bulgarie ?)
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drefui
Franchement ils ne peuvent pas faire des poules de niveau à la FIBA.... Ça a fait un bel entraînement pour travailler la transition, le 2 contre 0... Après faut pas râler si la salle n'est pas pleine!
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cyril68- Modifié
Peut-être une formule à revoir. Ce genre de match n'a de sens pour personne (joueuses, spectateurs, téléspectateurs).
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grant_5verdun
Quel intérêt ce type de match ?
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ryosanada
Bravo à l'EDF féminine qui continue sur sa grosse lancée depuis un an et demi. On sent que Jean Aimé Toupane a trouvé la bonne formule et il a des joueuses parfaites pour son projet de jeu. Sans la patronne Gabby Williams et Marine Johannes c'est très solide comme performance. Très content de voir Janelle Salaun continuer ses excellentes qualifications. C'est vraiment devenu une cadre de l'EDF. Elle est tellement forte des deux cotés du terrain. Et globalement les jeunes en général continuent de progresser avec des belles prestations de Pauline Astier, Carla Leite et Dominique Malonga.
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