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Lucie Agras, la présentatrice du Multiskweek : « C’est un concept assez novateur »

Skweek - Présentatrice de l'émission Multiskweek avec Maximilien Le Liard, Lucie Agras nous présente ce nouveau concept disponible sur la plateforme OTT qui diffuse la Betclic ÉLITE.
Lucie Agras, la présentatrice du Multiskweek : « C’est un concept assez novateur »
Crédit photo : Skweek

Elle fait partie de la nouvelle équipe éditoriale de Skweek. Lucie Agras anime chaque week-end l’émission Multiskweek en compagnie de Maximilien Le Liard. Cette émission permet de suivre les rencontres en cours mais également de débattre, présenter des invités liés de près ou de loin du monde du basketball, d’interagir avec les internautes ou encore de faire participer à des jeux concours. Elle nous en dit plus après quatre journées de Betclic ÉLITE.

Lucie Agras SkweekAvec Maximilien Le Liard, vous présentez la nouvelle émission de Skweek appelée « Multiskweek ». Quel premier bilan pouvez-vous en tirer après quatre journées de championnat (entrevue réalisée le lundi 2 octobre) ?

Je suis très contente parce que je trouve que c’est un concept assez novateur, que c’est une émission qui n’existait pas sur la plateforme Skweek. Elle est aussi différente des multiplexes qu’on peut connaître sur les autres chaînes de télévision dans le sport. Je trouve que c’est plus adapté pour des gens qui ont l’habitude de consommer des contenus sur Youtube ou sur Twitch. C’est vraiment fait pour être accessible à tous, que ce soit vraiment détente. C’est fait pour être vraiment un bon moment à passer avec nous en plus de suivre les matches de basket. Pour l’avoir animé plusieurs fois déjà, même si ce n’est que le début, je prends vraiment du plaisir à aborder des sujets différents, à rencontrer des invités de la communauté et du monde du basket, à suivre les matches et l’évolution de la saison. C’est vraiment quelque chose d’assez global.

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Pour les lecteurs qui n’auraient pas encore regardé MultiSkweek, pouvez-vous nous décrire le concept ?

C’est assez simple en fait, MultiSkweek est une émission qui est faite pour parler de basket. Bien évidemment on suit dans les grandes lignes les matches du multiplex, donc il peut y en avoir quatre ou cinq – s’il n’y a de la LFB -, mais c’est aussi un rendez-vous où on va profiter du basket pour proposer des sujets exclusifs, discuter, débattre et faire découvrir aussi des personnalités du monde du basket et de sa culture. Et passer un bon moment. On est vraiment en mode détente. Ce n’est pas une émission formelle telle qu’on peut le voir par exemple sur le mag de la Coupe du monde de rugby de TF1.

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On a quand même du contenu exclusif. On parle de ce qu’il y a aussi sur la plateforme, des autres émissions, etc. A la fin, on fait toujours une petite recommandation culturelle basket. Et on a des invités. Pour les deux derniers, on a eu Florent Michel de Dear Basketball, qui fait des t-shirts en collaboration avec des joueurs, et le créateur de la marque Layup Cédric Marlu.

Les invités seront-ils plus généralement liés à la culture basket textile, à la mode, ou ça peut être très variable ?

Ça peut être variable et beaucoup plus large. On a eu aussi par exemple Kevin Couliau qui est lui photographe et réalisateur, donc c’était un peu différent. Mais on va peut-être aussi aller chercher des gens qui sont plus dans le coaching, des joueurs qui sont libres à ce moment-là, d’autres personnes aussi qui sont peut-être reliées à la mode, aux chaussures. J’ai parlé samedi d’une artiste qui fait des dessins et de la peinture, peut-être qu’on pourra l’inviter aussi. C’est vraiment englober le basket, pas seulement en parlant des joueurs, des matches et des équipes, mais plus en parlant vraiment de la communauté basket et de tout ce que ça inclut, la musique, la mode, tout.

Les invités sont amenés à parler de leur actualité, mais aussi à débattre autour de tout ce que vous pouvez traiter tout au long de l’émission, c’est ça?

Oui, tout à fait. En fait, on a vraiment un focus sur eux vers le milieu de l’émission où on va passer bien 10 minutes, à parler d’eux, de leurs produits, de leur actu. Mais sinon, c’est vraiment comme si c’était un pote qu’on invite à la maison et on discute avec lui des sujets qu’on fait dérouler dans notre conducteur d’émission. Là, la dernière émission, on a parlé de NBA, on a parlé de street work-out, de discipline de rue. On parle aussi un peu du Skweek show avec Tony Parker. On a parlé d’EuroLeague. L’invité peut bien sûr donner son avis, interagir avec nous. On a fait un top 3 de nos joueurs de Betclic ELITE sur le début de saison. Il nous a aussi donné son top 3. C’est vraiment l’inclure dans la discussion.

Quelles nouveautés comptez-vous amener à l’avenir ?

On va forcément faire évoluer un peu l’émission. On va essayer par exemple d’ajouter, – il y en a déjà un -, plus de jeux, essayer de faire gagner plus de cadeaux sur le live. On va mettre de la musique aussi. On aimerait pouvoir vraiment interagir avec les gens qui regardent.

Car l’idée est de pouvoir échanger avec les téléspectateurs. Comment peuvent-ils vous solliciter ?

 

Lucie Agras Skweek
Lucie Agras sur le plateau de Multiskweek

Pour le moment ça passe par la plateforme X (ex-Twitter). On a le community manager qui lance le hashtag #Multiskweek. A chaque début d’émission, on lance deux questions. La première, c’est quel match vous souhaitez voir en premier, parce qu’on part toujours, après notre petite intro, sur un match avec les commentaires pendant 2-3 minutes. Les viewers peuvent nous donner leur choix. S’ils veulent voir tel match, ils le mettent à chaque fois en réponse de ce post. Et il y a aussi un deuxième post pour gagner le cadeau de la semaine qui est amené par l’invité. Il faut trouver le meilleur scoreur du multiplex. Les réponses, les gens les inscrivent sous ce deuxième post. On peut ainsi interagir avec eux et lire qui a participé, fait des remarques, etc. A chaque fois on essaie, dès qu’on aborde un sujet, de demander aux gens de réagir avec le hashtag #Multiskweek. Je sais que notamment, on a eu une question la dernière fois sur le match du BCM Gravelines-Dunkerque, s’il allait avoir l’hommage à Ludovic Vaty diffusé en avant-match sur la plateforme. Ça peut être des questions qui sont hors émission et des questions qui concernent les sujets de notre émission. Il y avait des questions aussi sur les invités. Par exemple, quand on a eu Cédric Marlu de Lay-up, il y avait des questions pour savoir où acheter ses produits, est-ce qu’il y allait avoir telle couleur, etc. Le but est toujours de faire connaître un maximum le concept de l’émission.

J’essaie d’en parler sur mes réseaux, d’amener les gens à tester ce multiplex, à regarder un peu le début de l’émission, peut-être commencer leur soirée basket avec ça. On sait que de toute façon les gens ne sont pas forcément amenés à regarder toute l’émission d’un trait, mais qui vont arriver peut-être au début, peut-être au milieu, peut-être à la fin. C’est pour ça qu’on essaie sans arrêt de relancer un peu l’interaction avec eux. Après, je pense que le fait que ce soit récurrent chaque semaine et que peut-être de plus en plus de personnes s’abonnent à la plateforme aussi fera que l’émission prendra encore plus d’ampleur aussi grâce aux invités.

Vous avez rejoint Skweek pour cette nouvelle saison. Outre la présentation de MultiSkweek, vous allez partir en reportage n’est ce pas ?

Oui, l’idée c’est de commencer vraiment à développer des reportages pour alimenter l’émission et aussi le reste de la plateforme sur tout ce qui est communauté basket. On va peut-être aller voir un concours de breakdance, voir les tournois qui se font en ce moment, du 3×3. Ça peut être aussi une expo sur le basket. Ça peut être la Fashion Week parce que c’est aussi largement relié au basket et aux basketteurs. Ça peut être suivre un joueur sur une journée pour voir ce qu’est la vie d’un basketteur professionnel. Ça peut être de suivre aussi un club, les fans, etc. Ça va commencer à prendre forme là ce mois-ci.

Multiskweek

Avant d’intégrer l’équipe de Skweek, quel était votre lien avec le basket ?

Mon lien avec le basket date d’il y a très longtemps parce que j’ai toujours été passionnée de basket. J’ai joué étant plus jeune, etc. C’est vraiment depuis toujours que je suis le basket en tant que spectatrice et fan.

Ensuite, au niveau professionnel, c’est vraiment depuis un peu plus d’un an maintenant que j’ai commencé à être investie dans le basket. J’ai commencé par le haut, par le top. C’était avec le match NBA à Paris. Via les réseaux sociaux, j’étais déjà en contact avec NBA Europe pour faire de la création de contenu et faire de la promotion pour le League Pass. J’ai fait plusieurs vidéos pour eux. Je suis un peu entrée dans le milieu et c’est comme ça qu’on est de plus en plus visible et qu’on vous appelle pour le reste. Donc, j’ai animé le live des deux entraînements des deux équipes pour le match NBA sur l’application NBA. Suite à ça, j’ai rencontré plusieurs acteurs du monde du basket. J’ai aussi participé à un événement EuroLeague quelques semaines après.

Ensuite, la fédération (française de basketball) m’a appelée pour animer les finales de la Coupe de France sur leurs réseaux et ensuite la LNB pour les finales sur leurs réseaux aussi. Et là j’ai fait le Média Day avec la LNB aussi en septembre.

Ma venue dans ce média montre le fait que Skweek veut vraiment élargir l’audience du basket, en choisissant une personne comme moi qui n’est ni une ancienne joueuse, ni une journaliste puriste. J’ai un profil différent par exemple d’Ali (Traoré, consultant) ou de David (Cozette, commentateur). Je trouve que c’est vraiment important d’ouvrir la discussion et la perspective du basket à beaucoup plus de personnes, et qu’il y a plein de choses à faire, plein de choses à montrer, et que c’est accessible à tous. Je trouve ça très innovant, nouveau et cool comme concept.

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