Mathias Lessort et le Panathinaïkos en finale de l’EuroLeague, 14 ans après !
Mathias Lessort et le Panathinaïkos ont largement dominé le Fenerbahçe pour atteindre la finale de l’EuroLeague.
Mathias Lessort et ses coéquipiers du Panathinaïkos Athènes étaient fins prêts quand la demi-finale du Final Four de l’EuroLeague 2024 contre le Fenerbahce Istanbul a démarré avec 25 minutes de retard. L’équipe d’Ergin Ataman a démarré la rencontre par un 12-0 et a conservé l’avantage tout le long, malgré le retour turc dans le deuxième quart-temps (38-36, 20′). Portée par Mathias Lessort – meilleur marqueur (17 points) et rebondeur (10 rebonds) de la rencontre – en deuxième mi-temps, le Panathinaïkos a creusé l’écart pour filer vers une victoire incontestée (73-57).
Une défense de fer pour Mathias Lessort et le Panathinaikos
Cette victoire a été marquée par la défense de fer du Pana’ (57 points encaissés, dont seulement 7 dans le dernier quart-temps). « C’est la clé pour nous, a estimé Mathias Lessort après la rencontre. On sait qu’on a une des meilleures défenses d’EuroLeague. Quand on garde une équipe en dessous de 70 points, 65 points, c’est dur pour l’équipe de nous garder en dessous de ce total là. La clé pour nous c’est de continuer à défendre dur. » Pour Ergin Ataman, la performance a été complète. « La plupart du match, on a gardé le contrôle. On a suivi notre stratégie. On a très bien commencé défensivement. On a bien bougé la balle. »
.@ThiasLsf has arrived at #F4GLORY with a typical Lessort FINISH 🛫 #FlightTime I @TurkishAirlines I #F4GLORY pic.twitter.com/rsMKpmI4OJ
— Turkish Airlines EuroLeague (@EuroLeague) May 24, 2024
Sarunas Jasikevicius : « En attaque, nous étions horribles »
Fier de la saison de ses joueurs mais déçu de la performance du jour, Sarunas Jasikevicius a abondé dans le sens du pivot français. « Ils étaient plus eux-mêmes que nous. Défensivement, on a été très bons, on n’a pas trop donné de points faciles. En attaque, malheureusement, nous étions horribles. On n’a pas bougé la balle. Quand on l’a fait, on n’a pas mis nos tirs. On était trop statique. Ce qu’on fait toute la saison, on ne l’a pas fait. C’est classique : quand c’est on fait un peu des choses individuellement », a regretté Sarunas Jasikevicius, qui a rappelé que le match « avait été retardé pour les deux équipes ».
C’est la première fois depuis 14 et son dernier titre acquis à Barcelone en 2011 que le Panathinaïkos atteint la finale de l’EuroLeague. Ce sera ce dimanche 26 mai contre le vainqueur de Real Madrid – Olympiakos Le Pirée.
A Berlin,
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