Le mea-culpa de Sofiane Briki pour expliquer les sorties ratées du SCABB en février
![Le mea-culpa de Sofiane Briki pour expliquer les sorties ratées du SCABB en février](/_next/image?url=https%3A%2F%2Fcdn.bebasket.fr%2Fresources%2Fimages%2Fblog%2Fbriki1-1efe56ee-e4e1-6ffe-8be0-37f5eebef257.jpg&w=3840&q=75)
Sofiane Briki a déjoué contre son ancien club, l’ASA.
Le SCABB a été l’une des équipes les plus en forme de Pro B pour débuter l’année 2025. Fort de trois succès de suite en janvier (Évreux, Orléans, Poitiers), le club basé à Saint-Chamond avait également terminé 2024 par deux autres victoires (Nantes, Aix-Maurienne).
Sofiane Briki assume ses responsabilités
Mais la belle remontée au classement du SCABB (10e) s’est stoppée en février, avec deux revers consécutifs contre Rouen et l’Alliance Sport Alsace. Lors de ses deux rencontres, l’équipe ligérienne a été dominée dans l’agressivité et l’intensité. Au micro du Progrès, l’un des joueurs de l’effectif de Maxime Nelaton a endossé en partie la responsabilité de ses défaites, en la personne de Sofiane Briki (1,93 m, 25 ans). « J’ai été la tête d’affiche de cette mauvaise mentalité », avoue-t-il au quotidien local par rapport au match contre l’ASA. « Personnellement, je ne suis jamais aussi fort que quand je m’appuie sur les autres, quand je joue en mouvement. Contre l’ASA, j’ai joué complètement à l’envers. »
« Quand on est unis, peu d’équipes peuvent nous arrêter »
Revenu en France à l’été 2024 après une expérience en 2e division espagnole, Sofiane Briki effectue une saison correcte avec le SCABB (8,3 points à 42% aux tirs, 3,9 rebonds et 3,2 passes décisives en 20 minutes de jeu en moyenne). L’ancien joueur de Strasbourg et de l’ASA doit cependant continuer à gommer ses moments de moins bien. « J’ai connu ce genre de comportement négatif dans le passé », explique-t-il. « Moi, ça ne marche pas comme ça. Je me suis trompé. Mais je suis quelqu’un de positif. Ce sont des choses qu’il ne faut pas que je refasse pour performer. »
Le SCABB et Sofiane Briki auront l’occasion de soigner leur dernière sortie avant la trêve internationale de février ce vendredi lors d’un déplacement à Chartres. « Quand on est unis, peu d’équipes peuvent nous arrêter. » Cela ferait donc mauvais genre de s’incliner face à la lanterne rouge de Pro B.
Commentaires