L’ASVEL dos au mur : « On ne peut pas partir à Monaco à 0-2 ! »
T.J. Parker : « L’intensité est notre identité sur les gros matchs qu’on a pu gagner. Il n’y a pas de cadeaux en finale, cela doit commencer dès la première minute. À la vidéo, on a vu le manque d’impact, ils ont récité ce qu’ils voulaient. Le rebond était la clef, on a perdu 41 à 27, il faut que l’on rectifie cela. On sait qu’ils vont en prendre, mais pas autant. […] On a toujours eu une bonne réaction (après des défaites), je ne vois pas pourquoi il n’y en aurait pas. C’est réaction obligatoire, c’est un match très important pour nous. On ne peut pas partir à Monaco à 0-2, il faut vraiment que l’on gagne pour relancer cette série. Sinon, ce serait très compliqué. Dans les vestiaires, Marcos (Knight) a redit son mot habituel : « Ce n’est pas fini ! » Bien sûr que ce n’est pas fini, c’est une série en cinq matchs, ce n’était qu’une rencontre. On sait pourquoi on a perdu, il faut juste rectifier le tir. »
William Howard : « Il faudra mieux commencer, ne pas prendre d’éclat. C’est comme en EuroLeague : face à ce genre d’équipes, si on prend 8 – 10 points d’écart dès le début, c’est difficile de revenir. Ce sont des séries courtes : si on perd les deux à domicile, il faudra en gagner deux à l’extérieur ensuite… Il n’y a pas trop de calculs à faire. Il faut jouer, et jouer pour gagner. Hier soir, on s’est parlé. On sait qu’on n’est pas très loin. Il faut régler certains détails pour espérer gagner. Il faudra tout mieux faire pour exister : mieux débuter, être plus constants, mieux gérer les moments difficiles. Il va falloir augmenter l’intensité et bien défendre, ce sont des choses que l’on peut à peu près bien contrôler. Il faudra être fort sur les basiques. »
À Villeurbanne,
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