Julien Cortey et La Rochelle à 1/17 : « Ce n’est pas dans mon ADN de lâcher et de baisser la tête »
Julien Cortey et le Stade Rochelais n’y arrivent toujours pas en Betclic ELITE
Un quart-temps et puis plus grand chose de positif. En tête à l’issue des 10 premières minutes samedi à Dunkerque, La Rochelle a ensuite fléchie face au BCM, au point de perdre de 25 points (89-64). Le Stade rochelais se retrouve désormais avec 16 défaites en 17 matches. La saison 2024-2025 est longue pour le promu qui ne trouve toujours pas la formule. Julien Cortey est revenu sur cette défaite nordiste dans Sud-Ouest :
« En première mi-temps, on est bien dans ce qu’on veut. Notre fin de première mi-temps ne nous aide pas à bien redémarrer. On les remet dans le match. On leur redonne de l’élan. On savait que Gravelines, à domicile, a un roster qui impacte, des joueurs qui impactent physiquement. Sur la longueur, on a explosé. On perd en lucidité, on est fatigués, ils font un premier break. »
Le rayon de soleil Tom Digbeu
Avec 14 passes décisives pour 16 balles perdues, La Rochelle a baissé le pied offensivement par rapport à ses sorties du début d’année. « On est la moins bonne attaque du championnat », rappelle Julien Cortey. Malgré tout, le technicien ligérien ne compte pas lâcher :
« Ce n’est pas dans mon ADN de lâcher et de baisser la tête. On prend encore un coup sur la tête. On va se relever, retourner au boulot. L’idée, c’est de rester tous ensemble et de donner au maximum. Ce n’est pas fini. »
Au rayon des bonnes nouvelles, parce qu’il y en a, Tom Digbeu (1,99 m, 23 ans) s’est distingué pour son deuxième match.
« Ce que je vois est conforme à ce que j’attends. C’est un bon deuxième match pour un gars qui n’a pas joué depuis 10 mois. La balance est plutôt bonne: il ne surjoue pas, il prend ce qu’on lui donne, est en place défensivement. »
De retour à domicile ce samedi 1er février, La Rochelle reçoit la seule équipe qu’elle a réussi à battre cette saison, la JDA Dijon.
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