FedCom également partenaire de l’ASVEL jusqu’en 2026 ?
Le groupe FedCom, qui opère dans le secteur des céréales et des engrais, est arrivé par la grande porte dans le monde du basketball français et européen. Son puissant patron Aleksej Fedoricsev a repris le club de basketball de l’AS Monaco en cours de saison 2021-2022 après avoir longtemps financé l’équipe professionnelle de football de la principauté.
Un tournant qui a permis à la Roca Team de devenir l’une des principales places fortes du basketball en moins de deux saisons, au point d’atteindre le Final Four 2023. Mais le citoyen hongrois-monégasque d’origine russe ne veut pas s’arrêter là. Alors qu’il espère évoluer en EuroLeague de manière permanente, il investit à grands frais dans la création d’une plateforme OTT, Skweek, donnant plus de visibilité au basketball européen. Mais pas que…
FedCom pourrait également aider le principal concurrent de l’AS Monaco dans le championnat de France, l’ASVEL. En effet, le président du club le plus titré de l’histoire du basketball français, Tony Parker, était à la recherche d’un partenaire majeur pour prendre la succession de Smart Good Things qui compte claquer la porte. Début avril, l’ancien meneur des San Antonio Spurs annonçait avoir « signé, pour trois ans, le plus gros contrat qu’on n’ait jamais eu à l’ASVEL depuis que je suis président. » Un mois plus tôt, TP s’était affiché aux côtés d’Aleksej Fedoricsev lors du match retour de saison régulière d’EuroLeague entre l’AS Monaco et le Maccabi Tel-Aviv.
Tony Parker was spotted courtside in Monaco vs Maccabi game 👀 pic.twitter.com/C9mkT8wcZY
— BasketNews (@BasketNews_com) March 2, 2023
A ce stade, plusieurs sources ont confirmé à BeBasket le partenariat potentiel entre l’ASVEL et FedCom. Reste à savoir comment celui-ci va s’articuler s’il venait à être finalisé. Car injecter directement ou indirectement de l’argent au sein de deux clubs concurrents va obligatoirement faire parler. Avec son fort intérêt pour les droits télés des championnats de France, Coupes d’Europe et même des matches de l’équipe de France, FedCom pourrait prendre une place majeure dans l’avenir du basketball français.
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