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Champion déchu, l’ASVEL ne veut pas « mettre une croix complète sur sa saison »

Triple champion de France en titre, l'ASVEL a été déboulonné par les Metropolitans 92. Une immense désillusion pour le club villeurbannais, même si T.J. Parker n'a pas voulu dramatiser le bilan final, marqué par un trophée en Leaders Cup, une finale en Coupe de France, la dernière place de l'EuroLeague et la première finale manquée depuis 2018.
Champion déchu, l’ASVEL ne veut pas « mettre une croix complète sur sa saison »
Crédit photo : Infinity Nine Media / Ilan Allouche

Charles Kahudi « C’est une grosse désillusion. On s’est bien battu mais ce n’était pas assez, ça n’a pas suffi. On n’a pas abordé la rencontre par le bon bout. Malheureusement, ce match reflète les travers de notre saison, avec surtout l’inconstance. Il n’y a qu’à voir les deux visages totalement différents montrés lors des deux dernières à l’Astroballe. Ce sont les détails qui nous font mal, comme les balles perdues, l’adresse, le jeu offensif, le passing game… Oui, l’absence de Nando fait mal mais on avait suffisamment de joueurs pour compenser. On aurait pu et dû mieux jouer que ça. Vu que c’est le dernier match, il y a une frustration énorme. »

Les Metropolitans 92 en finale, l’ASVEL éliminée !

T.J. Parker : « La déception est là. Quand on prend une série de playoffs, ce n’est pas un seul match qui compte, tous sont importants. Or, c’est surtout le premier qui me déçoit. On a fait un non-match alors qu’ils n’avaient pas été extraordinaires non plus. On a fait beaucoup d’erreurs sur les détails, comme le fait de ne pas pousser des joueurs à gauche alors qu’on voulait le faire. Il ne faut pas mettre une croix complète sur la saison. Bien sûr que nous avons connu des difficultés, surtout avec l’absence de Nando en playoffs, mais on a quand même gagné la Leaders Cup. On fait une finale de Coupe de France aussi, même si le match n’était pas ce que l’on voulait. Il ne faut pas oublier que c’est une satisfaction d’avoir gagné autant de trophées sur les trois années où je gère l’équipe. Ça arrive de perdre, on ne peut pas toujours être au top. Bien sûr qu’on veut l’être, c’est l’objectif à l’ASVEL. On ne va pas se mentir, l’absence de Joffrey (Lauvergne) a pesé aussi. Joffrey est un joueur qui créé de l’attaque et on a parfois connu des faiblesses dans ce domaine, ça a été très dur. Cette équipe a montré de vrais visages et des visages pas très bons non plus. Ça a été une saison compliquée. C’est sûr que c’est difficile sans Nando De Colo, ton leader et scoreur n°1. Il n’a joué que 10 minutes sur les playoffs. Si on avait gagné, il aurait été là pour le Match 5. »

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